Le mariage entre le cacao, la vanille et la boisson végétale de noisettes donne à ce gâteau fondant et peu sucré des accents réconfortants pour les jours pluvieux. Vos papilles vont être sollicitées !
Pour un gâteau au format cake :
- 200 g de farine de blé T 80 ou de farine de grand épeautre
- 50 g de farine de seigle
- 25 g de sucre de fleur de coco
- 450 g de boisson végétale de noisette
- 20 g d’huile d’olive + un peu pour le moule
- 25 g de cacao en poudre non sucré
- 1 c. à c. de bicarbonate de soude alimentaire
- 1/2 c. à c. de vanille en poudre
- 1 pincée de fleur de sel
Matériel :
- 2 saladiers
- un moule à cake
- un cuit-vapeur * (avec couvercle en dôme de préférence)
Dans un saladier, mélanger les farines, le sucre et le bicarbonate de soude alimentaire. Faire un puits.
Dans un second saladier, verser la boisson et l’huile et fouetter rapidement.
Dans le saladier des ingrédients secs, verser progressivement dans le puits le mélange humide, tout en fouettant énergiquement, pour qu’il n’y ait pas de grumeaux. Ajouter la vanille en poudre et mélanger de nouveau brièvement.
Séparer la pâte en deux (vous pouvez réutiliser le saladier des ingrédients humides).
Dans l’un des deux saladiers, ajouter le cacao en poudre et la fleur de sel. Homogénéiser la préparation à la fourchette, afin d’obtenir une pâte lisse.
Porter à ébullition l’eau pour le cuit-vapeur. Huiler et fariner le moule à cake.
Verser dans le moule la pâte vanillée puis la pâte cacaotée (celle-ci est légèrement plus épaisse que la première).
Poser le moule sur le tamis du cuit-vapeur pour 40 minutes de cuisson.
Laisser reposer le gâteau cuit pendant 30 minutes, avant de le démouler (le repos permet qu’il se décolle des parois du moule). Déguster froid.
* Ce gâteau peut également être cuit au four : dans ce cas, préchauffer le four à 160° C. Le gâteau cuira également 40 minutes et le repos sera aussi le même (30 minutes).
Remarques :
Vous voyez sur le photo que le dessus du gâteau tend sur le noir : non, il n’est pas cramé (surtout qu’il a été cuit à la vapeur douce). A chaque fois que j’ai réalisé cette recette, j’ai pu constater la même chose : encore chaud le dessus est un peu crémeux et de couleur chocolat alors que, dès qu’il entame la phase de refroidissement complet, le cacao a tendance à brunir, en créant la croûte.
Si vous n’appréciez pas le goût de l’huile d’olive en pâtisserie, optez ici, en remplacement, par de l’huile de tournesol au goût neutre.