Parce que l’idéal a beau être hors de ce monde, il ne tient qu’à nous de trouver les moyens de le faire coïncider avec nos actions.
Parce qu’il n’y a pas de nature extérieure à nous, mais une participation commune aux mystères de la vie, avec la responsabilité qui s’ensuit vis-à-vis de sa préservation.
Parce qu’il n’y a pas d’oppositions, mais différents niveaux qui se transforment de l’intérieur comme le fil revient dans la boucle pour créer la maille.
Parce qu’il est nécessaire d’habiter d’autres verbes : non pas utiliser, exploiter, mais recevoir, remercier.
Parce qu’avoir des droits est une chance qui permet de choisir les devoirs qu’on s’impose.
Parce qu’il y a autant à récolter qu’à semer.
Parce que tout ne part pas en fumée.